Le 14 novembre 2020, il y avait du monde dans les rues de Prades pour dire non au masque pour les enfants. Mais d’autres idées, plus larges, étaient aussi défendues : la dictature sanitaire, les incohérences et l’arbitraire des décisions gouvernementales et de leurs applications… Aurélie s’est intéressée à ce qui anime profondément les personnes réunies ce jour : de quel monde elles ont envie, et comment elles pensent y travailler.
Enregistrement et montage A. N., novembre 2020
Mixage A. D.
Charlotte H
19 décembre 2020 — 12:00
Intéressant, tout ça!! Ça me touche ces récits de soi tournés vers le rêve..
Belle l’initiative !
sitja laëtitia
20 décembre 2020 — 07:41
Une bien étrange métaphore utilisée par cette dame dans ce contexte de revendication.
« j’inspire, je m’occupe de moi, j’expire, je suis dans la relation à l’autre », quand on sait que le port du masque permet, entre autre, de protéger l’autre. Etrange façon de considérer et respecter l’autre.