“Pour moi, tout est possible, on peut tout faire. Et c'est pas parce qu'on est une femme qu'on ne peut pas le faire.”
Nicole est une bâtisseuse. Allons faire un tour dans la maison qu’elle a transformée toute seule. Nicole a toujours senti qu’elle avait « ça » en elle.
Un petit tour à Sansa dans les Garrotxes, pour écouter Charlotte Gosselin, Benoît Guillaume, Julie Gourmaud et Clara Chotil, les quatre artistes invité·es de la neuvième édition des Rencontres du dessin de montagne.
“Je pense qu'on se pose trop de questions. Je ne me suis pas posé de questions pour faire ça. Tout le monde peut le faire.”
Ancestrale et écologique, la construction en pierre sèche est emblématique de notre territoire. Mélanie est allée rencontrer Ève, muraillère à Prades, pour mieux connaître le métier et battre les clichés en brèche.
“J'aimerais bien savoir pourquoi les femmes ont beaucoup plus de trucs à assumer que les hommes.”
Au lendemain de la Journée internationale des droits des femmes, le 9 mars sur le marché de Prades, Mariana est allée tendre son micro à des femmes, des hommes et des enfants pour parler féminisme.
Louise nous emmène à la rencontre de Michèle et Romain, deux personnes de génération différentes qui ont eu une pratique de la macrobiotique. Où l’on découvre une philosophie de la vie, sans interdits, une façon de s’alimenter basée sur l’équilibre et sur l’écoute de sa santé.
Présent dans toutes les cuisines du monde, l’oignon fait la force ! C’est en tout cas l’opinion de Catherine, maraîchère conflentoise, fan de l’oignon de Toulouges, qui s’est lancée dans un hommage vibrant et plein d’humour à ce bulbe étonnant.
“C'est vraiment cet espace protégé qui nous a donné envie de vivre ici.”
C’était le jour de la fête du village, c’était l’anniversaire des 40 ans de la Réserve naturelle, et c’était également le jour où Mantet dévoilait ses tout nouveaux noms de rues, à l’image de sa relation très intime à son environnement naturel. Reportage auprès des habitant·es.
Des habitantes du Conflent ont rencontré des bâtisseuses d’aujourd’hui : des femmes, de différentes générations, liées aux métiers du bâtiment ou à la pratique de la construction. Faisons connaissance avec Ève, muraillère, Vinciane, menuisière-ébéniste, Sabine, architecte, Claire, plombière-chauffagiste, Nicole, autoconstructrice et Marie-Agnès, Amapola, Laure et Zoé, bâtisseuses d’une société nouvelle.
“Le matrimoine peut aussi donner la vie au patrimoine. Je le pense. Et sans le matrimoine, peut-être qu'il n'y aurait pas de patrimoine.”
Rose-Marie Soria est une figure de Villefranche-de-Conflent. Ancienne mairesse et actuelle première adjointe, elle a œuvré pendant plus de 35 ans pour le patrimoine et l’environnement de son village. Elle nous raconte combien elle y est attachée.
“Ma deuxième mamie m'a appris à croire en moi.”
Pour vous, c’est quoi le matrimoine ? Y a-t-il des femmes dans votre entourage qui vous ont transmis quelque chose d’important ? Écoutons les réponses de Jeanne, Camille et Niels.
“J'ai toujours gagné collectivement.”
Issue de la « génération 68 », passée par le maoïsme qui prônait l’établissement en usine, Anne nous raconte ce que les générations précédentes lui ont transmis et comment elle s’est construite « avec » mais aussi « contre » et surtout par elle-même.
“On a le droit de faire ce qu'on veut dans notre existence, contrairement à ce qu'on croit et à ce qu'on dit.”
En enquêtant sur le matrimoine, nous rencontrons Caroline, issue d’une famille d’artistes-femmes et elle-même artiste. Parmi ce qui lui a été transmis : l’indépendance économique avant tout.