L’agriculture vivrière, c’était l’époque de Jacques, plutôt, de son enfance. Après, les fraises ont constitué un apport financier appréciable, mais en plus du salaire de « l’équipement », et à la retraite, le troupeau n’était constitué que de quelques montons. Récit d’un vrai « Conatien » !

Enregistrement : N. J., automne 2017