Les « néos » d’alors venaient principalement de la ville. Ils et elles avaient du travail ailleurs, mais c’est ici qu’ils voulaient vivre. Alors ils se sont faits agriculteurs sur cette terre largement désertée. Jean Planas, qui en connaissait un rayon et qui voulait voir les paysages agricoles revivre, a été là pour eux. Des souvenirs émus et joyeux.

Enregistrement : H. S. et O. C., décembre 2016

Lire et voir des images sur ce sujet dans la revue Fruits oubliés, hors série numéro double « Le Conflent, terre fertile en Pyrénées catalanes ».

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