Raymonde est née à Vernet-les-Bains il y a plus de 80 printemps. La vie l’a rendue montpelliéraine une moitié de l’année, mais l’autre moitié, sa fenêtre s’ouvre toujours sur la place du village, et sur Saint Martin du Canigó, nichée dans la roche. Elle raconte à Gérard son rapport à Vernet, à ses habitant·es et à ses montagnes.

Enregistrement G. M.