“On a quasiment 70% des gens qui sont opposés à ce lotissement.”
Parce que des terres agricoles continuent d’être sacrifiées dans le Conflent comme à Codalet, un forum populaire a fait surgir la question de l’habitat le 6 novembre dans l’espace public à Prades.
“ Le document est indigeste, c'est très lourd, mais je pense qu'il y a des problèmes énormes qu'il faut souligner.”
Le plan local d’urbanisme intercommunal dessine l’urbanisation de demain dans le Conflent. Agriculture, économie, tourisme, vie sociale : vous vous sentez concernées ? Écoutez Camille, de l’association CEBTA « la terre c’est nos oignons », expliquer à Sarah pourquoi et comment participer à l’enquête publique en cours jusqu’au 20 novembre.
“Je trouve ça complètement normal, ici on voit souvent le drapeau catalan, ça me dérange pas du tout.”
Susie épisode 3 ! On l’a quittée racontant à Gérard l’importance de comprendre la langue locale pour s’intégrer… Susie revient ici plus en détail sur son intégration à Sahorre, ses trois métiers, et la catalanité.
Vous nous avez peut-être rejoint·es au café l’Alégria, ou bien écouté·es depuis la place du marché où nous retransmettions ; ou encore étiez-vous à l’écoute en direct sur internet via notre site… Sinon, vous pouvez écouter maintenant !
“Le vrai terme, c'est cyanobactérie.”
C’est un son plein d’eau de pluie, d’eau de cuve que des pompes brassent, d’eau de rivière nommée Rotja.
C’est aussi un son qui contient des odeurs et beaucoup de cœur. Et puis, c’est rare dans le Conflent, c’est d’abord un son d’algue.
Depuis la Foire plantes et nature, organisée par l’association Herbes Folles, il a été question des plantes, de notre rapport à elles, à la nature et à la terre… dans un froid brutal et sévère !
“Y avait plus que toi, comme berger à Conat dans les années 80 !”
Connu par beaucoup comme « le dernier berger de Conat », Jacques n’a pas été seulement berger. Mais il est d’une famille d’éleveurs et connait encore de le nom des autres familles d’éleveurs, ainsi que chaque bergerie. En présence de sa compagne, il raconte à Nathanaël.
“Oh là là... tu te souviens ?”
Hélène et Gérard ont réuni quelques ancien.n.es de l’AMAM. Elles et ils font ensemble le récit ému et joyeux d’une époque d’effervescence pour les néos-ruraux
En partenariat avec la revue Fruits oubliés.
“Ah... le plaisir de le voir arriver !”
Dans les années 70 et 80, poussé.e.s par les courants libertaires de 68, elles et ils sont arrivée.e.s de partout et d’ailleurs, avec l’idée de s’installer dans le Conflent soumis à l’exode rural… Jeannot leur a tendu la main.
En partenariat avec la revue « Fruits oubliés ».
“La fenouillet gris, elle a un goût légèrement anisé.”
Coquette, fenouillet rouge, fenouillet gris, blanche d’Espagne, museau de lièvre… Mais de quoi vous parlez ? De pommes, pardi !
En partenariat avec la revue « Fruits oubliés ».
“J'ai l'impression de me reprojeter 20 ans en arrière. Je revis !”
Arboriculteur en Conflent, Michel connaît bien cette terre que travaillait déjà sa famille avant lui. Il nous emmène dans ses réflexions vers une agriculture biologique et indépendante.
En partenariat avec la revue « Fruits oubliés ».
Allô Geneviève, comment ça va avec le confinement ?
Geneviève, agricultrice, est confinée dehors ! Comme tous les printemps, la période est pour elle à l’hyperactivité. Pourtant il a aussi fallu prendre du temps pour relancer les marchés de Prades, fortement limités par la crise du covid 19. À écouter : des détails sur ce point et maintes réflexions sur d’autres questions de « bon sens » que soulèvent le confinement. Et OYEZ OYEZ samedi et mardi, il y a marché !