“Regardez la tranquillité. Est-ce que vous entendez les voitures ?”
Une rencontre avec des membres de l’association APHEM, qui s’est mobilisée pour dénoncer les risques du projet de déviation de la nationale 116.
“On ne peut pas remettre en cause, poser des questions.”
Ergothérapeute refusant d’être vaccinée, Christine doit changer de voie professionnelle. Anne et André ont recueilli son témoignage.
“J'inspire, je m'occupe de moi ; j'expire, je suis dans la relation à l'autre.”
C’était il y a déjà plus d’un mois, dans la deuxième manifestation du collectif Bas les masques 66. Aurélie promène son micro avec ces questions : De quel monde veux-tu ? Et comment penses-tu agir dans ce sens ? Quelques pistes à écouter ici.
“Ça a été comme un cataclysme. On ne vivait, après, que parmi les pierres, les cailloux, de tout ce qui a été détruit et qui n'a pas été relevé. Donc nous vivions au milieu d'un chaos.”
À 3 ans, perchée sur une chaise devant la fenêtre de la maison de sa grand-mère à Vernet-les-Bains, Raymonde regardait et écoutait l’aiguat.
Elle raconte la grande inondation d’octobre 1940 à Gérard, et les répercussions tenaces de ce cataclysme qui a été suivi de la Retirada et de la seconde guerre mondiale. Un drame qui s’est rejoué cet automne, dans les vallées du pièmont alpin, à la frontière avec l’Italie.
“ Le document est indigeste, c'est très lourd, mais je pense qu'il y a des problèmes énormes qu'il faut souligner.”
Le plan local d’urbanisme intercommunal dessine l’urbanisation de demain dans le Conflent. Agriculture, économie, tourisme, vie sociale : vous vous sentez concernées ? Écoutez Camille, de l’association CEBTA « la terre c’est nos oignons », expliquer à Sarah pourquoi et comment participer à l’enquête publique en cours jusqu’au 20 novembre.
Le collectif LA CLÉ faisait son premier festival à Villefranche-de-Conflent, pour les journées du Patrimoine. Nous y étions avec un passionnant plateau radio qui vous révèlera ce qu’est le livre des 4 clous, le bâti vernaculaire, ou encore, la mer de Thétis.
“On a besoin d'humanité.”
Durant le confinement, de nombreuses initiatives solidaires ont émergé. À Vinça, par exemple, un petit groupe d’habitant·es est allé chanter sous les fenêtres de la maison de retraite. Le récit de cette belle aventure, par les intéressé·es et en chansons !
“Tout le monde m'a dit si tu appartiens à une famille, c'est complètement différent que si tu arrives toute seule.”
4ème et dernier épisode de l’entretien de Gérard avec Susie ! De l’avis de Susie, la langue française, qu’elle ne parlait pas assez bien, aura été un manque, mais le fait d’arriver dans une famille « du coin » aura été sa plus grande aide. Un dernier épisode où elle redit son attachement à sa langue maternelle, et la barrière de la langue, pour elle comme pour tou·tes les émigré·es.
“Je trouve ça complètement normal, ici on voit souvent le drapeau catalan, ça me dérange pas du tout.”
Susie épisode 3 ! On l’a quittée racontant à Gérard l’importance de comprendre la langue locale pour s’intégrer… Susie revient ici plus en détail sur son intégration à Sahorre, ses trois métiers, et la catalanité.
“Pendant que j'étais en vacances ici, j'ai rencontré mon futur mari, à la fête de Fillols.”
Épisode 2, où vous apprendrez comment Susie a trouvé l’amour ici, avec un Sahorran… qui vivait à Londres : ) et comment ils se sont finalement installés ensemble dans le Conflent.
“On était intrigué·es parce qu'à Vernet il y avait la cascade des Anglais, on se demandait pourquoi.”
On avait quitté Gérard en conversation avec Raymonde de Vernet-les-Bains, à propos de l’Entente franco-anglaise. On surfe sur le thème des Anglais·es en Conflent, et on retrouve Gérard pour une discussion en quatre temps avec Susie, Anglaise de Sahorre. Épisode 1 : Susie, c’est quoi le lien entre les Anglais·es et le Canigó ?
Allô Louis et Céline, comment ça va avec le confinement ?
Pour Louis, 7 ans, il s’est passé quelque chose de particulièrement important pendant le confinement : sa petite sœur est née ! Il nous raconte son confinement à lui, et sa maman nous explique comment le confinement a rendu compliquée et absurde l’organisation de son accouchement.