“Le feu, c'est une chose vivante, un être autonome.”
Nouvel artisan installé dans le Conflent, Juan nous ouvre les portes de sa forge au pied des Tres Estelles.
“En ville, on n'a pas cette liberté.”
Rencontre avec un jeune habitant de Sournia, heureux de vivre et de travailler au village.
“On ne peut pas remettre en cause, poser des questions.”
Ergothérapeute refusant d’être vaccinée, Christine doit changer de voie professionnelle. Anne et André ont recueilli son témoignage.
“On a besoin d'humanité.”
Durant le confinement, de nombreuses initiatives solidaires ont émergé. À Vinça, par exemple, un petit groupe d’habitant·es est allé chanter sous les fenêtres de la maison de retraite. Le récit de cette belle aventure, par les intéressé·es et en chansons !
“Tout le monde m'a dit si tu appartiens à une famille, c'est complètement différent que si tu arrives toute seule.”
4ème et dernier épisode de l’entretien de Gérard avec Susie ! De l’avis de Susie, la langue française, qu’elle ne parlait pas assez bien, aura été un manque, mais le fait d’arriver dans une famille « du coin » aura été sa plus grande aide. Un dernier épisode où elle redit son attachement à sa langue maternelle, et la barrière de la langue, pour elle comme pour tou·tes les émigré·es.
“Je trouve ça complètement normal, ici on voit souvent le drapeau catalan, ça me dérange pas du tout.”
Susie épisode 3 ! On l’a quittée racontant à Gérard l’importance de comprendre la langue locale pour s’intégrer… Susie revient ici plus en détail sur son intégration à Sahorre, ses trois métiers, et la catalanité.
“Pendant que j'étais en vacances ici, j'ai rencontré mon futur mari, à la fête de Fillols.”
Épisode 2, où vous apprendrez comment Susie a trouvé l’amour ici, avec un Sahorran… qui vivait à Londres : ) et comment ils se sont finalement installés ensemble dans le Conflent.
“On disait que la piscine qui était à l'intérieur était une piscine romaine.”
Raymonde en parlait déjà dans l’épisode 1, comme d’un élément vernetois historique essentiel : les thermes, bien sûr.
Vous pensiez qu’ils avaient été détruits par l’aiguat de 1940… écoutez ce qu’il en est vraiment !
“Nous on a la chance d'avoir un confinement de luxe.”
Au téléphone avec Baptiste, dessinateur en bâtiment, confiné avec sa femme et sa fille à Vernet-les-Bains. En présence de Youna, 3 ans, il évoque une situation personnelle assez privilégiée, et l’occasion d’une expérience inédite.
Le grand je-u, une expérimentation culturelle menée de janvier à septembre 2019 dans tout le Conflent, auprès de 5 groupes très différents… aujourd’hui à écouter sur notre site internet !
“ Dossier rédigé en 156 étapes et des poussières. ”
C’est une première ! Nous commençons une série drôle et profonde à la fois, locale et universelle car fémini-ne ou fémini-ste ?… à suivre !
Allô Cathy, comment ça va avec le confinement ?
Au téléphone avec Cathy, assistante de vie dans le Conflent. Cathy s’estime bien protégée et dans de bonnes conditions de travail, mais du côté des personnes qu’elle visite, le moral n’est pas au beau fixe.