“Malgré tout, vivre en montagne n'est pas une fin en soi. Il faut aussi communiquer au-delà.”
C’est le récit d’une vie à deux voix, celles de Marité et Jo Falieu. Le retour à la terre et le choix de Nyer, la beauté de la montagne, l’isolement et la nécessité aussi des rapports sociaux, les travaux domestiques et une vie de famille atypique. Enfin, la naissance d’un art : la poésie.
Les élèves du collège Les Lucioles à Marquixanes se sont rendu·es au hameau de Serrabona, bien connu pour son prieuré. Là-bas, ils et elles ont rencontré Yohan, éleveur de chèvres, et l’ont interrogé sur son métier.
Petit retour sur le joli final de Mosset en Résonances à la Maison de Janie, avec écoute collective de reportages réalisés à Mosset durent l’année écoulée, présentation de livre et performance musicale.
“Je trouve ça complètement normal, ici on voit souvent le drapeau catalan, ça me dérange pas du tout.”
Susie épisode 3 ! On l’a quittée racontant à Gérard l’importance de comprendre la langue locale pour s’intégrer… Susie revient ici plus en détail sur son intégration à Sahorre, ses trois métiers, et la catalanité.
“Pendant que j'étais en vacances ici, j'ai rencontré mon futur mari, à la fête de Fillols.”
Épisode 2, où vous apprendrez comment Susie a trouvé l’amour ici, avec un Sahorran… qui vivait à Londres : ) et comment ils se sont finalement installés ensemble dans le Conflent.
“On était intrigué·es parce qu'à Vernet il y avait la cascade des Anglais, on se demandait pourquoi.”
On avait quitté Gérard en conversation avec Raymonde de Vernet-les-Bains, à propos de l’Entente franco-anglaise. On surfe sur le thème des Anglais·es en Conflent, et on retrouve Gérard pour une discussion en quatre temps avec Susie, Anglaise de Sahorre. Épisode 1 : Susie, c’est quoi le lien entre les Anglais·es et le Canigó ?
“Oh là là... tu te souviens ?”
Hélène et Gérard ont réuni quelques ancien.n.es de l’AMAM. Elles et ils font ensemble le récit ému et joyeux d’une époque d’effervescence pour les néos-ruraux
En partenariat avec la revue Fruits oubliés.
“Ah... le plaisir de le voir arriver !”
Dans les années 70 et 80, poussé.e.s par les courants libertaires de 68, elles et ils sont arrivée.e.s de partout et d’ailleurs, avec l’idée de s’installer dans le Conflent soumis à l’exode rural… Jeannot leur a tendu la main.
En partenariat avec la revue « Fruits oubliés ».
“Avec l'agriculture, il y a une notion de lendemain.”
Sur les hauts de Prades, trois hectares sont dédiés à une agriculture intelligente : non seulement écolo, mais aussi, collaborative et solidaire.
En partenariat avec la revue « Fruits oubliés ».
“ Pour moi, la bibliothèque, la flotte, l'école, la nature sauvage : Il ne nous manquait rien du tout.”
Mosset a beau être labellisé » Plus beau village de France « , on peut aussi y atterrir par hasard… et puis y trouver son compte, finalement.
“On a cherché longtemps où on pouvait s'installer de façon définitive.”
De Banyuls à Prades il y a quelques kilomètres et une voie de chemin de fer. Une famille raconte le choix de s’installer à Prades et d’y construire soi-même une maison de bois.
“On monte dans la montagne, on voit le vieux village d'Entre-Valls. Et là, c'est le déclic formidable !”
Ils étaient quatre familles, venaient de Belgique et cherchaient tant le soleil que l’aventure. C’est au mas de Bordes, à Thuès, que ça a commencé et que ça continue.