“J'inspire, je m'occupe de moi ; j'expire, je suis dans la relation à l'autre.”
C’était il y a déjà plus d’un mois, dans la deuxième manifestation du collectif Bas les masques 66. Aurélie promène son micro avec ces questions : De quel monde veux-tu ? Et comment penses-tu agir dans ce sens ? Quelques pistes à écouter ici.
Le collectif LA CLÉ faisait son premier festival à Villefranche-de-Conflent, pour les journées du Patrimoine. Nous y étions avec un passionnant plateau radio qui vous révèlera ce qu’est le livre des 4 clous, le bâti vernaculaire, ou encore, la mer de Thétis.
“Je trouve ça complètement normal, ici on voit souvent le drapeau catalan, ça me dérange pas du tout.”
Susie épisode 3 ! On l’a quittée racontant à Gérard l’importance de comprendre la langue locale pour s’intégrer… Susie revient ici plus en détail sur son intégration à Sahorre, ses trois métiers, et la catalanité.
“Pendant que j'étais en vacances ici, j'ai rencontré mon futur mari, à la fête de Fillols.”
Épisode 2, où vous apprendrez comment Susie a trouvé l’amour ici, avec un Sahorran… qui vivait à Londres : ) et comment ils se sont finalement installés ensemble dans le Conflent.
“On était intrigué·es parce qu'à Vernet il y avait la cascade des Anglais, on se demandait pourquoi.”
On avait quitté Gérard en conversation avec Raymonde de Vernet-les-Bains, à propos de l’Entente franco-anglaise. On surfe sur le thème des Anglais·es en Conflent, et on retrouve Gérard pour une discussion en quatre temps avec Susie, Anglaise de Sahorre. Épisode 1 : Susie, c’est quoi le lien entre les Anglais·es et le Canigó ?
“J'ai beaucoup de personnes qui pleurent, qui en ont marre...”
Au téléphone avec Cathy, assistante de vie dans le Conflent. Cathy s’estime bien protégée et dans de bonnes conditions de travail, mais du côté des personnes qu’elle visite, le moral n’est pas au beau fixe.
“Pour lutter contre les virus, c'est quand même mieux d'être au grand air que d'être confiné dans les supermarchés !”
Geneviève, agricultrice, est confinée dehors ! Comme tous les printemps, la période est pour elle à l’hyperactivité. Pourtant il a aussi fallu prendre du temps pour relancer les marchés de Prades, fortement limités par la crise du covid 19. À écouter : des détails sur ce point et maintes réflexions sur d’autres questions de « bon sens » que soulèvent le confinement. Et OYEZ OYEZ samedi et mardi, il y a marché !
“Mais ho és pas, us comprenim ?! Mais comment, vous nous comprenez ?!”
Cet entretien de Gérard avec Raymonde s’écoute en catalan… et il est traduit en français, entrez, entrez ! Il raconte la rencontre de deux monde : le Conflent et la « Catalogne du Sud », reliés par la langue catalane.
“J'ai l'impression d'être un peu coupée du monde.”
Nous avons joint par téléphone Donia, hébergée avec son petit garçon par l’association Sésame à Prades. Pour cette jeune maman, il est surtout difficile d’être coupée de sa famille et d’assurer seule l’école à la maison.
“C'est difficile d'exercer normalement.”
Au téléphone avec Nadine, sage-femme à Prades, qui décrit les effets du confinement sur son activité et l’impact de cette situation pour ses patientes, notamment les femmes enceintes.
“Et aussi, les garçons ça a des barbes.”
Et si on écoutait parler de nos différences, de nos questionnements, de nos rages et de nos espoirs sur le genre ? Tout de suite sur Résonances et tout le mois d’août à Mosset, autour de la Capelleta.
Allô Louis et Céline, comment ça va avec le confinement ?
Pour Louis, 7 ans, il s’est passé quelque chose de particulièrement important pendant le confinement : sa petite sœur est née ! Il nous raconte son confinement à lui, et sa maman nous explique comment le confinement a rendu compliquée et absurde l’organisation de son accouchement.