“Tant que vous n'avez pas raté, vous ne savez pas le faire.”
Beaucoup de gourmets se souviennent encore de l’Hostal de Nogarols et surtout de la cuisine de sa cheffe, Christine Riera. Au micro d’Aigline, Christine raconte son parcours de vie.
“C’est essentiellement de la transmission, pour donner envie aux gens de faire autrement qu'en achetant.”
La Colline des Rêves, c’est le jardin de Natacha Matthews à Los Masos, où elle fait pousser toutes sortes de plantes pour toutes sortes d’usages. Mais c’est aussi le nom de son activité d’éducatrice aux plantes, qu’elle a créée pour des adultes et des enfants qui n’ont pas la chance d’avoir un jardin. Reportage in situ.
“Les filles réussissent mieux parce qu'elles savent qu'elles savent pas.”
Dans un esprit d’entraide et d’autoformation, Nicole a ouvert l’atelier « Bricofilles » à Fillols. Ici, récupération, recyclage et créativité riment avec liberté.
“– Bonjour Germaine, vous arrosez vos tomates ? – Ah bonjour M. Bonneil, ça se passe bien au conseil municipal ?”
Le 21 octobre dernier avait lieu une dernière session de théâtre-forum à Espira. L’idée : mettre en scène des situations conflictuelles de la vie quotidienne et permettre au public d’en changer l’issue !
“La créativité me semble un espace formidable de construction de soi.”
Nous avons rencontré Émilia Vaillant à Ria. Née en 1940 dans un milieu où le destin des femmes était convenu, elle raconte sa carrière et les valeurs qu’elle souhaite transmettre aux nouvelles générations.
“Une personnalité locale, c'est quelqu'un que t'es content d'avoir rencontré ou c'est quelqu'un de "connu" ?”
Nous sommes allé·es promener notre micro au marché de Prades, en posant cette question toute simple. On s’attendait à entendre des noms connus. Mais surprise, il en ressort tout autre chose !
“Malgré tout, vivre en montagne n'est pas une fin en soi. Il faut aussi communiquer au-delà.”
C’est le récit d’une vie à deux voix, celles de Marité et Jo Falieu. Le retour à la terre et le choix de Nyer, la beauté de la montagne, l’isolement et la nécessité aussi des rapports sociaux, les travaux domestiques et une vie de famille atypique. Enfin, la naissance d’un art : la poésie.
“Nous avons imaginé ce que pourrait devenir ce lieu.”
Des élèves du lycée de Prades vous racontent Gibraltar : l’origine de son nom, l’histoire industrielle… et, sur la base d’observations et de recherches, ils et elles se prennent au jeu d’imaginer un avenir pour ce site.
“La Têt passait aux pieds de Gibraltar.... 1980 : la route crée une barrière.”
Le 13 mai 2023, l’architecte Mélanie Fistarol a proposé une « balade urbaine » au départ du centre-ville de Prades et à destination de Gibraltar. C’était l’occasion d’évoquer l’évolution de la ville à travers les siècles et d’entrevoir son devenir.
“On attend mon voisin qui sait encore plus de choses que moi.”
À Gibraltar, il y a des artisans qui travaillent, mais il y a aussi des gens qui habitent et qui apprécient leur tranquillité. Certains sont inquiets de l’aménagement d’une nouvelle route à travers le quartier.
“J'ai une photo avec tous les ouvriers de Chefdebien. Je la conserve dans mon bureau précieusement.”
Nous rencontrons M’hamed Bey Bachir, artisan menuisier à Gibraltar, dont le père lui-même a travaillé à l’ancienne usine de talc Chefdebien.
“J'aurais pu m'installer ailleurs... mais ce bâtiment, j'ai flashé dessus. Il y a plein d'énigmes dans ces murs.”
Petite histoire de la zone de Gibraltar, vestige du passé industriel de Prades. Et visite d’un des bâtiments originels, en compagnie d’un groupe d’élèves du lycée Charles Renouvier.