“J'ai beaucoup de personnes qui pleurent, qui en ont marre...”
Au téléphone avec Cathy, assistante de vie dans le Conflent. Cathy s’estime bien protégée et dans de bonnes conditions de travail, mais du côté des personnes qu’elle visite, le moral n’est pas au beau fixe.
“Pour lutter contre les virus, c'est quand même mieux d'être au grand air que d'être confiné dans les supermarchés !”
Geneviève, agricultrice, est confinée dehors ! Comme tous les printemps, la période est pour elle à l’hyperactivité. Pourtant il a aussi fallu prendre du temps pour relancer les marchés de Prades, fortement limités par la crise du covid 19. À écouter : des détails sur ce point et maintes réflexions sur d’autres questions de « bon sens » que soulèvent le confinement. Et OYEZ OYEZ samedi et mardi, il y a marché !
“Mais ho és pas, us comprenim ?! Mais comment, vous nous comprenez ?!”
Cet entretien de Gérard avec Raymonde s’écoute en catalan… et il est traduit en français, entrez, entrez ! Il raconte la rencontre de deux monde : le Conflent et la « Catalogne du Sud », reliés par la langue catalane.
“J'ai l'impression d'être un peu coupée du monde.”
Nous avons joint par téléphone Donia, hébergée avec son petit garçon par l’association Sésame à Prades. Pour cette jeune maman, il est surtout difficile d’être coupée de sa famille et d’assurer seule l’école à la maison.
“C'est difficile d'exercer normalement.”
Au téléphone avec Nadine, sage-femme à Prades, qui décrit les effets du confinement sur son activité et l’impact de cette situation pour ses patientes, notamment les femmes enceintes.
“Et aussi, les garçons ça a des barbes.”
Et si on écoutait parler de nos différences, de nos questionnements, de nos rages et de nos espoirs sur le genre ? Tout de suite sur Résonances et tout le mois d’août à Mosset, autour de la Capelleta.
Samedi 11 mai 2019, de 17h30 à 19h, Résonances émettait en direct depuis l’Atelier de l’Entonnoir de Prades, dans le cadre de l’événement « La mine, à quel prix ? »
“Pour moi c'était huit mois de Nirvana. On m'aurait dit de signer pour deux mois de plus, je l'aurais fait !”
Cet.te enfant, ils en parlaient depuis longtemps. Mais une naissance, c’est souvent plein d’inattendus : du papa fusionnel à la grand-mère absente, en passant par le rude virage de l’hôpital.
“Je me suis dis : tu es à l'hôpital, il va falloir prendre sur toi, mais il faut pas non plus tout accepter.”
Beaucoup de naissances se passent à l’hôpital. Parfois, c’est par défaut. Certaines femmes souhaiteraient être accompagnées dans leur choix d’un accouchement intime et naturel. Ce récit nous le décrit.
“Comme si le monde entier savait que notre enfant était arrivé. Comme si c'était un petit Jésus, quoi !”
Elle n’était pas prête, mais ses enfants oui, pressé.e.s d’arriver dans un monde qui semblait les attendre.
“C'est assez intime tout ça !”
Un accouchement naturel, c’est vraiment possible aujourd’hui ? Oui, c’est possible ! Écoutez ce récit, sauvage et beau.
Allô Louis et Céline, comment ça va avec le confinement ?
Pour Louis, 7 ans, il s’est passé quelque chose de particulièrement important pendant le confinement : sa petite sœur est née ! Il nous raconte son confinement à lui, et sa maman nous explique comment le confinement a rendu compliquée et absurde l’organisation de son accouchement.