“Nous avons été les premiers dans le département à faire ce qu’on appelle de la seconde main.”
Depuis 27 ans, Entr’aides Roussillon récupère des vêtements dans le but d’éviter le gaspillage. Elle revalorise ces produits, les replace dans le circuit commercial, tout en permettant de soutenir des personnes en difficulté et créer des emplois.
“Ce qui est sympa dans le cirque, c'est qu'il n'y a pas cette compétition qu'il y a dans le sport. Mais on a la représentation à la fin : ce qu'on sait faire, on le met en spectacle.”
Après avoir travaillé dans le bâtiment, Claire est revenue à ses premières amours : le cirque et le spectacle de rue. Elle a fondé son école à Baixas en 1991.
“C'est un souvenir de grande amitié, de grand soutien, de grand partage.”
Claire raconte son expérience de plombière-chauffagiste, après une formation aux métiers du bâtiment, donnée à des femmes par des femmes, à Rivesaltes dans les années 80.
“Pour moi, tout est possible, on peut tout faire. Et c'est pas parce qu'on est une femme qu'on ne peut pas le faire.”
Nicole est une bâtisseuse. Allons faire un tour dans la maison qu’elle a transformée toute seule. Nicole a toujours senti qu’elle avait « ça » en elle.
Un petit tour à Sansa dans les Garrotxes, pour écouter Charlotte Gosselin, Benoît Guillaume, Julie Gourmaud et Clara Chotil, les quatre artistes invité·es de la neuvième édition des Rencontres du dessin de montagne.
“Je pense qu'on se pose trop de questions. Je ne me suis pas posé de questions pour faire ça. Tout le monde peut le faire.”
Ancestrale et écologique, la construction en pierre sèche est emblématique de notre territoire. Mélanie est allée rencontrer Ève, muraillère à Prades, pour mieux connaître le métier et battre les clichés en brèche.
“J'aimerais bien savoir pourquoi les femmes ont beaucoup plus de trucs à assumer que les hommes.”
Au lendemain de la Journée internationale des droits des femmes, le 9 mars sur le marché de Prades, Mariana est allée tendre son micro à des femmes, des hommes et des enfants pour parler féminisme.
Louise nous emmène à la rencontre de Michèle et Romain, deux personnes de génération différentes qui ont eu une pratique de la macrobiotique. Où l’on découvre une philosophie de la vie, sans interdits, une façon de s’alimenter basée sur l’équilibre et sur l’écoute de sa santé.
Présent dans toutes les cuisines du monde, l’oignon fait la force ! C’est en tout cas l’opinion de Catherine, maraîchère conflentoise, fan de l’oignon de Toulouges, qui s’est lancée dans un hommage vibrant et plein d’humour à ce bulbe étonnant.
“C'est vraiment cet espace protégé qui nous a donné envie de vivre ici.”
C’était le jour de la fête du village, c’était l’anniversaire des 40 ans de la Réserve naturelle, et c’était également le jour où Mantet dévoilait ses tout nouveaux noms de rues, à l’image de sa relation très intime à son environnement naturel. Reportage auprès des habitant·es.
Des habitantes du Conflent ont rencontré des bâtisseuses d’aujourd’hui : des femmes, de différentes générations, liées aux métiers du bâtiment ou à la pratique de la construction. Faisons connaissance avec Ève, muraillère, Vinciane, menuisière-ébéniste, Sabine, architecte, Claire, plombière-chauffagiste, Nicole, autoconstructrice et Marie-Agnès, Amapola, Laure et Zoé, bâtisseuses d’une société nouvelle.
“Le matrimoine peut aussi donner la vie au patrimoine. Je le pense. Et sans le matrimoine, peut-être qu'il n'y aurait pas de patrimoine.”
Rose-Marie Soria est une figure de Villefranche-de-Conflent. Ancienne mairesse et actuelle première adjointe, elle a œuvré pendant plus de 35 ans pour le patrimoine et l’environnement de son village. Elle nous raconte combien elle y est attachée.