“Je déplore qu'il n'y ait pas plus de soutien dans ces moments-là.”
Toutes les grossesses ne se passent pas bien et tous les accouchements ne trouvent pas de dénouement heureux. Et même lorsqu’il n’y a pas de problème médical, on a toujours besoin de ne pas se sentir seule. Récit d’un parcours de femme dans la maternité.
“J'avais besoin qu'ils m'encouragent à fond.”
Un jour ce fut une évidence : faire un enfant, et avec cet homme-là ! Dans cette histoire-là, il est question de l’énergie du Reiki, et de beaucoup de détermination sur fond de confiance.
“Pour l'accouchement, j'ai surtout roulé des fesses !”
Après une vie de couple déjà longue, la décision coule de source : faire un bébé !
“Je l'ai vu passer entre mes jambes, en nageant.”
Parce qu’elle est confiante en la capacité de toute femme à enfanter, elle a choisi de vivre ses accouchements au plus près de la nature. Elle raconte.
La maison est le lieu du confort… mais aussi celui de divers dangers, identifiés ici par les enfants réfugiés à Fuilla, racontés par les adhérent.e.s et résident.e.s des associations Mosaïque, Sésame, Couleur Famille et une assistante maternelle du RAM du Conflent : Pour rester vigilant.e.s !
“L'eau, elle est toujours bonne ? Non, l'eau elle n'est plus bonne, elle est chlorée.”
L’eau que l’on boit, c’est important. En témoigne ce récit amer du passage à l’eau chlorée au village de Mosset.
Jour de marché à Prades, c’est le moment de s’exprimer sur la place publique : ce projet national concernant le passage de 3 à 11 vaccins obligatoires, vous en savez quoi ? Et vous en pensez quoi ? Un petit groupe s’est mobilisé pour aller à la rencontre des gens.
“Et nous, la porte d'entrée était là, il y avait quatre familles. Il y avait deux familles à l'étage et là, il y avait deux familles aussi.”
En promenade dans Escaro et en passant par le Musée de la Mine, Hubert nous raconte la vie au village dans les années 50. Mais une partie du village, effondrée puis rasée, a aujourd’hui disparu.
“Il faut dire que j'ai appris à reconnaître ces plantes avec une amie japonaise, alors je connaissais d'abord leur nom en japonais."
Parole d’experte : les plantes comestibles qui couvrent les pentes du Canigó sont bonnes à connaître !
“Quand je suis revenu, j'ai vu le grand trou dans la montagne. Tout ce que j'avais connu avait disparu.”
Le père d’Hubert est devenu mineur de fond parce qu’il avait la chasse pour passion. Étonnant ? Écoutons son histoire.