Les élèves du collège Les Lucioles à Marquixanes se sont rendu·es au hameau de Serrabona, bien connu pour son prieuré. Là-bas, ils et elles ont rencontré Yohan, éleveur de chèvres, et l’ont interrogé sur son métier.
Vous nous avez peut-être rejoint·es au café l’Alégria, ou bien écouté·es depuis la place du marché où nous retransmettions ; ou encore étiez-vous à l’écoute en direct sur internet via notre site… Sinon, vous pouvez écouter maintenant !
Vous n’étiez ni dans le public ni à l’écoute depuis internet ? Pas grave, découvrez maintenant le Plateau radio spécial environnement à la Foire Plantes & nature de dimanche dernier.
“Ça c'était la treille pour les raisins, les gens prenaient le frais, il y avait le petit casot, les tomates, les pommes de terre... Là vous n'en voyez que les restes.”
C’était il y a longtemps, Jeanne était petite mais elle se souvient bien des horts – jardins potagers -, des vaches dans les rues en terre, et surtout des fleurs et des fruits à glaner !
“C'est vrai que c'est contradictoire : S'il était beau, il serait déjà parti à l'abattoir.”
Gaëlle est éleveuse et Nicole aussi. En suivant cette dernière dans sa bergerie, elles parlent de leur métier et des animaux dont elles prennent soin… pour mieux les vendre en boucherie.
C’est l’automne à Taurinya. Les brebis marchent en troupeau dans le sous-bois, et se régalent de glands.
Quand les vaches montent en estive, il faut suivre ! Les bergers se retrouvent d’une année à l’autre, au détour d’un col ou d’une cabane. D’estive en estive se fabriquent les souvenirs.