“C'est vraiment cet espace protégé qui nous a donné envie de vivre ici.”
C’était le jour de la fête du village, c’était l’anniversaire des 40 ans de la Réserve naturelle, et c’était également le jour où Mantet dévoilait ses tout nouveaux noms de rues, à l’image de sa relation très intime à son environnement naturel. Reportage auprès des habitant·es.
Grimpez dans le camion avec Valérie et Yvon, direction la Cerdagne ! Directement du champ à l’assiette, leurs légumes bio cultivés en chantier d’insertion à Prades nourrissent aussi le lien social.
“Malgré tout, vivre en montagne n'est pas une fin en soi. Il faut aussi communiquer au-delà.”
C’est le récit d’une vie à deux voix, celles de Marité et Jo Falieu. Le retour à la terre et le choix de Nyer, la beauté de la montagne, l’isolement et la nécessité aussi des rapports sociaux, les travaux domestiques et une vie de famille atypique. Enfin, la naissance d’un art : la poésie.
“C'est que du bonheur, de voir les rapaces au-dessus, qui prennent leur envol.”
Raphaël s’est promené dans son village, à la rencontre de ce que les gens ont à dire sur la vie à la montagne et leur relation à la nature.
“Je me sens vivante lorsque je me balade seule en montagne.”
Habitantes-habitants et visiteurs-visiteuses de passage ont promené nos micros dans les ruelles et les abords du village. Portrait sonore d’une après-midi placée sous le signe du vivant.
Petit retour sur le joli final de Mosset en Résonances à la Maison de Janie, avec écoute collective de reportages réalisés à Mosset durent l’année écoulée, présentation de livre et performance musicale.
“Mais ho és pas, us comprenim ?! Mais comment, vous nous comprenez ?!”
Cet entretien de Gérard avec Raymonde s’écoute en catalan… et il est traduit en français, entrez, entrez ! Il raconte la rencontre de deux monde : le Conflent et la « Catalogne du Sud », reliés par la langue catalane.
“Tot m'agrada.”
Py, village de montagne dans la vallée de la Rotja, se raconte en catalan (avec quelques coups de pouce en français !).
De Villefranche à Latour-de-Carol, les habitant·e·s du Haut-Conflent et de Cerdagne connaissent bien les sons du Train jaune.
“Quand je suis revenu, j'ai vu le grand trou dans la montagne. Tout ce que j'avais connu avait disparu.”
Le père d’Hubert est devenu mineur de fond parce qu’il avait la chasse pour passion. Étonnant ? Écoutons son histoire.
“On monte dans la montagne, on voit le vieux village d'Entre-Valls. Et là, c'est le déclic formidable !”
Ils étaient quatre familles, venaient de Belgique et cherchaient tant le soleil que l’aventure. C’est au mas de Bordes, à Thuès, que ça a commencé et que ça continue.